L’installation de CSC dépasse les attentes
Au cours de sa première année d’exploitation, le projet Quest a permis de capter et de stocker de façon sécuritaire un million de tonnes de CO2, et ce, avant la date prévue.
Le projet Quest a fonctionné mieux que prévu, tant en empêchant le CO2 de pénétrer dans l’atmosphère qu’en permettant de le stocker de façon sécuritaire à une grande profondeur, depuis son démarrage, en novembre 2015. Tant sa technologie de captage que sa capacité de stockage ont permis au projet Quest de dépasser l’objectif fixé de capter un million de tonnes de CO2 par année, et moyennant un programme d’étude et de suivi minutieux, la géologie souterraine se révèle idéale pour le stockage à long terme du CO2.
Shell apporte sa contribution, dans le cadre du projet Quest, pour diffuser les connaissances et la technologie et abaisser les coûts du CSC. Si nous devions construire à nouveau les installations du projet Quest aujourd’hui, nous sommes d’avis que les frais de construction et d’exploitation seraient de 20 % à 30 % moins élevés en raison de divers facteurs, dont une meilleure productivité du capital et un contexte de coûts moins élevés.
Depuis 2014, Quest a suscité l’intérêt de gouvernements et d’établissements d’enseignement situés aux États-Unis, en Corée, dans les Pays-Bas, en Norvège, au Mexique et à Taïwan. Nous continuons de transmettre les connaissances et les leçons tirées du projet en organisant plus de 50 délégations internationales aux installations Quest et en aidant les autres joueurs à améliorer leur technologie.